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NOTES




PRÉAMBULE.


1. Les trois joyaux sont : le Buddha, la loi et la confrérie (des moines).

2. La phrase initiale habituelle de tous les Sutras : « voici ce que j’ai entendu », ne se trouve pas ici.

3. La sagesse et la science absolues atteintes par le Buddha, âgé alors de trente-cinq ans, à Buddha-Gayâ.

4. Samâdhi, sorte d’extase ou de contemplation ; il y a aussi celle qu’on appelle Dhyâna. Ces deux termes sont quelquefois pris l’un pour l’autre. Ainsi la version chinoise de l’édition polyglotte emploie le terme qui signifie Dhyâna ; tandis que le texte purement chinois emploie celui qui désigne la Samâdhi.

5. Mâra « le tentateur ».

6. Expression qui s’applique à la première prédication du Buddha.

7. Voir : Foucaux, Histoire du Buddha Çakya-Mouni, page 21.

8. « Les cinq, Kaundinya en tête ». Ce sont les premiers disciples du Buddha dans l’ordre des temps.

9. (Voir Foucaux, ouvrage ci-dessus p. 390-4 et Feer, Journ. Asiat., janv.-juin, 1870, p. 345 et suivantes). Faire tourner la roue de la loi, c’est l’enseigner au moyen des quatre vérités.