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vées, l’image (de ceux qui s’y mirent) vient à briller.

2. C’est encore comme si une chaudière étant placée sur un feu qui l’enveloppe bien, l’eau qui est dedans bout et se couvre d’écume. Les hommes qui s’approchent de la chaudière ont beau s’y mirer, ils n’aperçoivent pas leur image. Ainsi, quand on est troublé par les trois poisons originairement fixés (dans le cœur), quand on est couvert par les cinq obscurités 1, on ne peut pas apercevoir la voie.

(Mais) si l’on fait disparaître entièrement les souillures du cœur, de quelque degré de connaissance qu’on soit parti pour renaître, et quels que soient les champs de Buddha où l’on se rend après la mort, ayant la connaissance, on en vient à apercevoir aussi les qualités de la voie.


XV


SCIENCE ET LUMIÈRE


Bhagavat dit encore :

Ceux qui enseignent la morale sont comme un homme qui, tenant une lampe allumée, entrerait dans une maison obs-