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— « Voir maman guérie et papa revenu de la guerre. »
— « Rends-moi ma baguette et retourne chez toi : tes vœux sont accomplis. »
— « Oh ! si j’avais su ! répétait encore le petit en s’éloignant.
Dès que Fanfreluche tint la baguette magique, ses ailes palpitèrent en se gonflant de vent.
Le ciel s’illumina : la fée Viviane apparut. Elle tendait les bras : « Viens, Fanfreluche ! Tu as appris à travailler. Viens, ma fille chérie ! »
Et Fanfreluche s’envola comme un joli oiseau fantastique.