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sera toujours temps de chercher un sort ailleurs.
Elle entra et demanda madame de Saint-Georges. Elle monta au second étage et sonna toute tremblante. Une femme de trente ans vint ouvrir avec humeur. Voyant Rosine, elle voulut d’abord refermer la porte.
— C’est votre mère qui m’envoie vers vous, dit Rosine.
— Ma mère ? laquelle, car j’ai été changée en nourrice.
— Votre mère m’a dit que vous cherchiez une femme de chambre.
— Elle est folle, et vous aussi.
Mademoiselle Georgine, — quelquefois madame de Saint-Georges, — éclata de rire. Trouvant la chose plaisante, elle prit la main de Rosine, et l’emmena dans son boudoir, où un jeune homme jetait avec une gravité comique des roses à une