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XV

LA MALÉDICTION


En se retrouvant dans la rue des Lavandières, Rosine se rappela toutes les scènes de son enfance ; l’horrible misère vint lui ressaisir le cœur ; elle s’étonna d’avoir pu vivre si longtemps côte à côte avec la pauvreté, dévorant un morceau de pain mouillé de larmes.

— Oui, mourir ; car je n’aurai jamais la force de vivre là-haut dans une pareille désolation.

Elle monta l’escalier, le cœur tout défaillant.