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galante compagnie, dans l’espoir d’y trouver Rosine.
Rosine avait compris qu’elle ne pouvait pas rester une seconde de plus en face du mari sans être forcée d’expliquer son trouble à la femme.
— Je suis bien malheureuse ! dit-elle en se retrouvant dans la rue. Il ne me reste donc plus qu’à mourir ?
Elle descendait la rue Laffitte sans se demander où elle allait. Comme elle marchait lentement, à chaque pas on la coudoyait. Arrivée sur le boulevard, elle s’arrêta à la vue de tout le luxe parisien qui s’étale de ce côté-là avec tant d’impertinence.
— Mourir ! dit-elle encore.
Et se demanda vaguement pourquoi elle ne pouvait prendre un peu de place dans la vie au milieu de tous ceux qui la coudoyaient. Elle