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I

À VÉNUS


Ta fougue, ô Vénus, me déclare
L’ancienne guerre ? Ah ! grâce, épargne-moi !
      Au temps de la bonne Cynare
Je ne suis plus. Sous ton ardente loi,

      Du cher Amour mère cruelle,
Cesse d’étreindre un homme, sage enfin
      Vers