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satires.

aigu et te fait tourner malgré tes refus. Quand tu restes en torpeur comme un insensé devant un tableau de Pausias, es-tu moins enfant que moi, lorsque, le jarret tendu, j’admire les combats de Fulvius et de Rutuba ou de Pacidéianus, peints à la brique ou au charbon, tels qu’ils semblent vraiment se battre, frappant ou évitant les coups ? Davus est alors un coquin et un paresseux, et toi, tu es traité de juge subtil et fin des anciens. Je suis un vaurien quand un gâteau fumant m’attire ; et toi, tu as sans doute la force et le cœur de refuser un repas excellent ? Ma complaisance pour mon ventre m’est funeste ; mais pourquoi ? parce que mon dos s’en ressent. Mais toi, recherches-tu donc plus impunément ces mets qui sont défendus aux pauvres ? Ces repas poursuivis sans terme deviennent amers, et les pieds incertains refusent de porter le corps délabré. S’il est en faute, l’es-