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ÉPIGRAMMES




I


Aux Néoteikhéiens.



Révérez celui qui manque d’abri et de présents hospitaliers, vous qui habitez la haute Ville, riante fille de Kymè, sur la dernière pente de Saidènè aux larges feuillages, et qui buvez l’eau ambroisienne du fleuve jaune, du Hermos tourbillonnant qu’engendra l’immortel Zeus.




II


En retournant à Kymé.


Que mes pieds me ramènent bientôt à une ville d’hommes vénérables dont l’âme est bienveillante et dont la pensée est excellente !