Ἕζετο δ’ ἐν ϰλισμῷ, ὁπὸ δὲ θρῆνυς ποσὶν ἦεν. Αὐτίϰα δ’ ἥγ’ ἐπέεσσι πόσιν ἐρέεινεν ἕϰαστα·
«Ἴδμεν δή^^2, Μενέλαε διοτρεφές, οἵτινες οἵδε ἀνδρῶν εὐχετόωνται ἱϰανέμεν ἡμέτερον δῶ ; Ψεύσομαι, ἢ ἔτυμον ἐρέω ; ϰέλεται δέ με θυμόσ^^3. Οὐ γάρ πώ τινά φημι ἐοιϰότα ὧδε ἰδέσθαι, οὔτ’ ἄνδρ’ οὐτε γυναῖϰα, σέϐας μ’ ἔχει εἰϛορόωσαν, ὡς ὅδ’ Ὀδυσσῆος μεγαλήτορος υἷι ἔοιϰε, Τηλεμάχῳ, τὸν ἔλειτε νέον γεγαῶτ’ ἐνὶ οἴϰῳ ϰεῖνος ἀνήρ, ὅτ’ ἐμεῖο ϰυνώπιδοσς εἵνεϰ’ Ἀχαιοὶ ἤλθεθ’ ὑπὸ Τροίην, πόλεμον θρασὺν ὁρμαίνοντες. »
Τὴν δ’ ἀπαμειϐόμενος προςέφη ξανθὸς Μενέλαος·« Savons-nous, divin Ménélas, quels sont les hôtes arrivés dans notre demeure ? Dissimulerai-je ou dirai-je la vérité ? Mon cœur m’engage à parler. Non, jamais je n’ai vu (j’en suis frappée d’étonnement), ni chez un homme ni chez une femme, autant de ressemblance que celui-ci en a avec le fils d’Ulysse, Télémaque, que ce héros laissa si jeune dans son palais, lorsque ma honte amena les Achéens sous les murs de Trole pour engager une guerre terrible. »
Le blond Ménélas lui répondit : « Femme, ma pensée est d’accord