Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/77

Cette page n’a pas encore été corrigée

meté et le courage à la douceur, et l’obéissance ! Humble et reconnaissante dans ses courts momens de bonheur, soumise et résignée dans l’adversité, un seul regard sur son Ludovico, sur sa Constantine, la consolait de toutes ses peines, et la ramenait aux sentimens de la plus tendre affection pour le père de ces enfans chéris, si malheureux lui-même par des défauts qui tenaient à ses qualités, et ne pouvaient les ternir aux yeux de son Agnès.