Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/35

Cette page n’a pas encore été corrigée

Agnès qui n’était pas de son avis, se rappela qu’une, de ses connaissances d’York s’était établie à Londres ; cette personne lui avait témoigné assez d’intérêt pour qu’elle pût la réclamer au besoin pour un léger service. Elle lui écrivit, lui raconta en détail la mésaventure de son mari, au sujet de ce tableau, et la pria de le retirer dans sa maison pour quelque temps.

M. Lewis, fier de ses premiers efforts en mécanique, voulut perfectionner encore son industrieuse machine avant qu’elle fût terminée. Il lui vint d’autres idées ; et comme elle devenait plus parfaite à chaque nouvelle épreuve ; que lui-même faisait (disait-il) d’étonnans progrès dans cet art en l’exerçant, il perfectionnait sans cesse sans rien achever, disant toujours à Agnès que pour assurer sa réputation et sa fortune, il fallait que