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ment. La Famille des Villars lui conserva ses bontés. Il fut leur ami plutôt que leur protégé, et continua de se distinguer dans l’état qu’il avait embrassé. Un de ses meilleurs ouvrages fut un tableau où il s’était peint lui-même au moment où il rencontra le bon quaker Gurney, et où dans l’excès de sa détresse il se jeta à ses genoux. Il regardait ce moment comme celui qui avait amené le changement de son sort et tous les évènemens heureux de sa vie. Il eut encore le plaisir de revoir cet excellent ami lorsqu’il revint d’Amérique et de lui faire, de ce tableau, un hommage qui le réconcilia avec l’art de la peinture.


Mes jeunes lecteurs ! vous à qui je dédie ce simple ouvrage, dans quelque situation que le sort vous ait placés,