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reuse de demeurer ici chez mon fils. Vous me présenterez à votre hôtesse. J’espère aussi gagner son amitié ; et je la prierai de ne point vous renvoyer.
— Je crois, Madame, dit en riant M. Joung, que vous l’obtiendrez facilement de la mère de Ludovico.
— De la mère !… Que voulez-vous dire ?
— Que cette maison appartient à la meilleure des mères, à madame Agnès Lewis…
— Et que j’espère qu’elle voudra bien me permettre d’y loger près d’elle, ajouta Ludovico.
Agnès croyait rêver. — Quoi ! dit-elle, ce paradis m’appartient ? Non, non ; cela ne se peut pas.
— Et pourquoi donc, Madame, dit M. Joung, n’ai-je pas des fonds à vous dont vous m’avez permis de disposer ? J’ai trouvé cette maison si jolie ; si bon