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et leur sœur Constantine. Après les premières salutations d’amitié, son fils la mena à une fenêtre qui donnait sur un charmant petit jardin de gazon et de fleurs. Agnès était enchantée de cette jolie demeure.

— Est-ce donc ici votre logement, mon cher Ludovico ? lui demanda-t-elle.

— Oui, ma chère mère, c’est ici où je loge ; à moins que la maîtresse de la maison ne me mette dehors : mais comme elle m’aime beaucoup, et que je le lui rends de tout mon cœur, je ne le crains pas.

— J’espère bien que non, dit Agnès. Pourquoi vous mettrait-elle dehors de chez elle ? Bien sûrement elle ne peut avoir un locataire plus sage, plus tranquille ; et je suis sûre aussi que vous paierez régulièrement votre loyer. Quand j’habiterai la ville, je serai heu-