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tour, lui disant qu’après une séparation de près d’une année, il était extrêmement impatient de la revoir ainsi que sa chère Constantine. Il la suppliait de venir célébrer son vingt-deuxième jour de naissance, à Londres dans la maison où il logeait, et dont il lui donnait l’adresse à Somers-Town, un des quartiers les plus aérés et les plus agréables de la capitale. La bonne et tendre mère lui accorda sa requête, et partit avec sa fille. Elle fut reçue par son Ludovico à la porte d’une maison très-petite, mais propre et élégante à l’extérieur ; l’intérieur ne l’était pas moins. Son fils la conduisit dans un joli salon meublé avec goût et simplicité. Elle y trouva à sa grande joie monsieur et madame Joung avec leur fils, alors en vacance, et ses trois élèves, les jeunes miss Lloyd, transportées de revoir leur seconde maman