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années de son apprentissage étaient terminées. L’éducation des jeunes Lloyd l’était aussi ; et madame Lewis jugea qu’elle pouvait enfin satisfaire son ardent désir d’aller dans le Cumberland visiter sa famille. M. Lloyd, à sa recommandation et pour l’obliger, avait placé avantageusement deux de ses frères dans des maisons de commerce. Le cadet, né depuis son mariage, et qui était de l’âge de Ludovico, avait un goût décidé pour le militaire. Au moyen de ses protecteurs, Ludovico lui procura une commission d’enseigne. Il se faisait un plaisir extrême de lui porter cette heureuse nouvelle, et de se lier d’amitié avec un oncle de même âge que lui. Il s’en faisait un plus grand encore de connaître enfin les respectables parens de la meilleure des mères ; et M. Dumney et sa digne compagne, qui n’a-