Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/232

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE XIX et dernier

À l’époque fixée, M. Joung reçut, au nom de madame Lewis et de ses enfans la somme stipulée par M. Wright, et il la plaça dans les fonds publics. Son élève Ludovico avait si bien employé le temps qu’il lui laissait pour la peinture, et s’était surtout tellement appliqué au paysage, dans le but de finir les tableaux commencés par son père, qu’il crut pouvoir l’entreprendre. Il en parla à M. Joung, qui l’encouragea d’autant plus, qu’il avait appris que Sinister faisait seulement alors l’exhibition de ceux qu’il avait achetés, et gardés prudemment pour le temps où la mort du peintre, qu’il avait prévue, leur donnerait