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embellis par sa bonne conscience, et ses nuits, par le doux et paisible repos qu’elle procure. Il parvint ainsi à la jeunesse, aimé et estimé de tout ce qui l’entourait.

Comme nous avions seulement le projet, en commençant cet ouvrage, de donner l’histoire de l’Enfance de Ludovico, nous ferions bien, peut-être, de la terminer ici. Mais si nous sommes assez heureux pour que notre jeune héros ait intéressé les lecteurs, il s’en trouvera qui seront bien aise de connaître sa situation actuelle, et les pas qui l’ont mené au degré de considération dont il jouit : c’est pour eux que nous cédons à l’envie de leur donner encore le chapitre suivant.