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vos bontés pour ceux qui lui furent si chers, et qu’elles font partie du bonheur dont il jouit.

Elle revint à son tour apprendre à ses enfans cette heureuse nouvelle, et tous deux s’en réjouirent. Leurs petites affaires furent bientôt arrangées. La vente de leur mobilier acheva de payer ce qu’ils devaient encore. Agnès rendit son appartement, et M. Joung demanda que ce fût chez elle que la voiture de M. Lloyd vint prendre la mère et la fille. Elles allaient partir, quand on annonça un homme de loi qui désirait parler en particulier à la veuve de M. Alfred Lewis, et disait qu’il arrivait exprès de Leeds dans cette intention. Agnès fut à la fois surprise et effrayée. Elle craignit que son mari n’eût peut-être contracté là quelque dette au-dessus de ses moyens. M. Joung, voyant sur son