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billée en grand deuil de veuve, laissant Constantine aux soins de son frère, elle s’achemina vers Fitzroi-Square, pour faire une visite de remercîment à madame Joung. On l’introduisit de suite. La famille était à déjeuner avec un ami. En voyant un étranger, elle fut d’abord interdite ; mais M. Joung la présenta à sa femme, et ensuite à ee monsieur, avec les expressions les plus flatteuses ; et madame Joung la reçut comme une amie qui est bien ve nue dans tous les momens. Dès qu’elle fut assise, M. Joung, en lui demandant excuse, dit qu’il était obligé de les quitter ; mais vous pourrez également, dit-il à sa femme, parler de ce que vous savez avec M. Lloyd, et terminer ; je désiré fort que la chose puisse avoir lieu : et il sortit.

Madame Lewis comprenant par ce peu de mots que madame Joung avait