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où Ludovico pourrait se placer de quelque manière. Pendant qu’ils en parlaient, ils furent interrompus par l’arrivée du bienfaisant Quaker et de M. Joung. Le premier n’avait point vu madame Lewis lors de sa première visite, et fût enchanté de son maintien si modeste et si doux. Tandis que son ami examinait les esquisses et les peintures que M. Lewis avait laissées, il s’informa des projets futurs de la veuve. Cela amena madame Lewis à parler du passé, quoique ce fût aussi peu que possible et sans faire l’ombre même d’une plainte. M. Gurney comprit quels momens affreux d’anxiété et d’affliction elle avait passés, et qu’elle les avait supportés avec une force d’ame et une résignation qui enchantèrent l’honnête Quaker. La tendre épouse, la mère dévouée, la bonne chrétienne ne pouvaient manquer de l’intéresser