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cher Alfred avait beaucoup de morceaux commencés, et pas un de fini.

C’est égal, dit Sinister, je vous donnerai quelque chose des moindres esquisses ; voyons. Je prendrai tout ce que vous avez.

Impatiente de le renvoyer et de satisfaire l’imprimeur, Agnès entra dans la chambre pour chercher tous les ouvrages de son mari ; et surprise de ne plus les voir, elle demanda à son fils ce qu’ils étaient devenus. Chère mère, lui dit-il, je les ai cachés ce matin ; mais vous ne pouvez pas les vendre jusqu’à ce que. M. Joummg les ait vus et taxés. Quand il en aura fixé le prix, M. Sinister pourra les avoir s’il les veut, mais pas avant.

— M. Joung, dis-tu, mon enfant ! je ne connais personne qui se nomme ainsi.

M. Sinister n’en pouvait pas dire