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derait à parler au peintre lui-même, et que Ludovico ne paraîtrait peut-être pas même devant lui.

Ranimé par l’éloquence de sa mère, toujours puissante sur lui, Ludovico reprit la force d’esprit dont il avait déjà donné des preuves. Il prit les tableaux enveloppés dans une toile, puis s’approchant du lit où son père dormait encore, il baisa doucement la main chérie qui les avait peints. Il partit ensuite pour se rendre à Portman-Square avec un cœur plus calme et une physionomie plus sereine que lorsqu’il s’était levé.