Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 1.djvu/217

Cette page n’a pas encore été corrigée

fréquentait les marchés autour de Leeds.

— Rarement, très-rarement, répondit celui-ci. Nous demeurons à Rotheram. Il m’amena ici il n’y a pas long-temps, et il s’arrêta dans un marché à Wakefield où il avait à faire ; mais il n’y eut que du malheur : d’abord ce fut une dispute avec un coquin de marchand de blé, et puis il perdit un billet de banque.

— Je l’ai trouvé, je l’ai trouvé ! s’écria Ludovico en joignant les mains ; j’ai trouvé aussi son reçu ; et ma mère dit que c’est bien ce qu’il y a de mieux. Je l’ai fait annoncer hier par les papiers publics pour la seconde fois. Vous pourrez le voir, si vous voulez venir jusque chez nous, monsieur Higgins. Je vous donnerai aussi le reçu, et aussi le… non pas le billet de banque, mais presque tout l’argent qu’il valait, cinq guinées,