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dressent pas en vain à sa miséricorde. Que cette certitude soit votre consolation, mon cher enfant ! Rappelez-vous que lors même que le succès ne couronne pas toujours vos efforts, vous avez un ami qui les voit, qui vous en tient compte, qui fera même de vos souffrances un moyen de bénédiction, et que son secours ne manque jamais à ceux qui se confient en lui et en lui seul. »