Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 2, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/262

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sant : — C’est à moi que ce jeune homme doit son talent ; à moi, l’élève du grand Tartini !

Et, à mon grand profit, je continuai de prendre ses leçons — et ses beaux ducats.


FIN DU SECOND VOLUME.