Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 2, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/163

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



CHAPITRE VI.

L’ACADEMIA DE PERCOSSI


Tout est soumis, sous le soleil, à des variations perpétuelles ; mais rien n’est plus variable que les dispositions des hommes. Le blâme le plus amer atteint le lendemain celui qui la veille recevait