Le maître régla sur-le-champ les points les plus essentiels avec l’officieux vernisseur, qui lui promit que dès le dimanche suivant il pourrait se promener dans le jardin comme dans sa propriété.
— Maintenant, s’écria maître Wacht, maintenant, ami Leberfinck, déchargez votre cœur du poids qui l’oppresse.
Leberfinck se prit à soupirer de la manière la plus lamentable, à faire les grimaces les plus singulières, à baragouiner des phrases incohérentes et dont il était assez malaisé de deviner le sens ; toutefois maître Wacht comprit sa pensée, et lui secoua la main en disant : — Cela pourra se faire !
Tout cet épisode avec Leberfinck avait fait du bien à maître Wacht. Il crut même être parvenu à prendre une résolution par laquelle il voulait combattre et même vaincre le plus grand,