de moi. Un avertissement du ciel me délivra de ce petit scélérat.
— Et cet avertissement du ciel était sans doute quelque rêve ? dit la dame.
Mais le vieillard continua : — Écoutez-moi, Julie, et jugez vous-même ! — Vous savez que la conduite diabolique de mon frère me porta le coup le plus rude que j’eusse jamais reçu, — à moins que ce ne soit celui que vous… mais silence là-dessus. Fut-ce l’effervescence que prirent mes idées à cette époque qui m’inspira l’idée d’élever un tombeau pour mon cœur, bref cela eut lieu. — Mon bois fut planté en forme de cœur, le pavillon s’éleva et les ouvriers s’occupèrent à le paver. Un jour je viens pour assister à leur travail, et je remarque à quelque distance, que l’enfant, nommé Max comme moi, s’amuse à rouler çà et là quelque chose, en bondissant et en