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le bonheur qui t’environne, peut-être es-tu au bord de l’abîme, peut-être la tête te tourne-t-elle-déjà en voyant sa profondeur ; ne crains rien, tu me trouveras toujours près de toi, pour te soutenir et te recevoir dans mes bras.

Henri de Ofterdingen avait écouté Wolfframb dans un profond silence. Il se cacha le visage dans son manteau, et s’élança brusquement dans l’épaisseur du bois. Wolfframb l’entendit s’éloigner en gémissant et en poussant de profonds soupirs.