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cle, après que nous eûmes long-temps travaillé en silence. Je lui racontai notre entrevue avec le baron, et je terminai en disant que je ne voulais pas me charger de la tâche dangereuse qu’il m’avait confiée.
— Quant à cela, dit mon grand oncle, sois tranquille ; nous partirons demain.
Nous partîmes en effet ; je ne revis jamais Séraphine !