Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 1, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/112

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE VIII.


Sans précisément m’interroger, le grand-oncle fit si bien le lendemain, que je lui racontai l’histoire de la veille. Alors quittant l’air riant qu’il avait pris d’abord, il me dit du ton le plus grave : — Je t’en prie, mon neveu, résiste à la fo-