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faire, & faiſoit avec ſes petits poils, comme s’il les eut voulu friſer : de temps en temps il la foüettoit tendrement, puis elle le mordoit & mettoit une de ſes jambes ſur celles de ſon mari. Enfin il la tourna à dos & lui monta ſur le corps, il lui ouvrit avec les mains les levres de ſon trou & y mit dedans ſon gros affaire. Toute étonnée j’attendois qu’elle criât, & je commençois à craindre qu’elle ne mourut, lors que je vis qu’elle leva les jambes ſur les côtés de ſon mari & avec les mains elle lui ſerroit les feſſes, & le tirant vers ſon ventre elle levoit ſes feſſes & battoit avec les talons comme ſi elle eut craint qu’il ne l’eut ôté : il pouſſoit fortement & elle ſoûpiroit, & j’entendois qu’au commencement elle ſembloit ſe plaindre & lui diſoit tu me tues fripon, tu me tues. Après pluſieurs ſecouſſes il ceſſoit de pouſſer fort, & alors elle lui diſoit en l’excitant par ſes branlemens, Ah mon ami tu ne m’aime pas, mon petit fils fais donc quelque douceur ; il pouſſa encore, & elle lui crioit, pouſſe mon fils pouſſe. Elle diſoit enſuite en ſoû-