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puces. Elle étoit toute nüe & ſon mari la regardoit ; il étoit auſſi à découvert ſur le lit couché à la renverſe ; il avoit ſur ſon ventre ſon membre bandé, & il me parut ſi gros & ſi long que je ne pouvois comprendre qu’une femme auſſi petite que l’eſt ma Couſine, put faire place à un ſi gros affaire. Eſt-il poſſible, diſois-je en moi-même, que s’il lui met ce grand membre dans le ventre, il ne la déchire point ; & puis je croyois qu’il ne faiſoit ſeulement que la frotter ainſi que ma Tante me faiſoit. Cependant j’oüis que mon Couſin lui dit ma fille viens ici ; elle ſe tourna pour le regarder, & l’ayant vû de la ſorte, elle lui dit en ſoûriant que voulez vous ? viens ſi tu veux, lui dit-il, encore une fois : La chemiſe lui tomba des mains, elle y alla, & d’abord elle prit à ſa main l’affaire de ſon mari, ils s’approcherent l’un de l’autre & ſe ſerroient ; elle le baiſoit de temps en temps fort doucement & promenoit une de ſes mains ſur le ventre de ſon mari, il lui tenoit une de ſes mains aux tetons, & avec l’autre il touchoit ſon af-