Page:Histoire et vie de l’Arrétin, 1774.djvu/18

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 14 )

ſois pas ſurpriſe de ce que tu as vû mon enfant ; c’eſt la coûtume de ces jeunes droles de ſe donner du plaiſir l’un l’autre ; les hommes en font tout de même entr’eux, & les femmes ſont des ſotes de n’en pas faire de mêmes entr’elles & les laiſſer là. Comment ma Tante, lui dis-je alors, les femmes peuvent elles avoir du plaiſir ſans les hommes ? Aſſurément, me dit-elle, veux-tu que je te le faſſe voir ? je ne répondis rien, & elle d’abord m’embraſſe, & me ſerre avec plus d’amitié que jamais, me manie les tetons & les feſſes, me fait ouvrir les cuiſſes & me mit ſon doigt dans mon trou, & me porta un des miens dans le ſien. Après nous être ainſi frotées quelques momens avec beaucoup de plaiſir, elle me fit étendre tout-à-fait & tourner le dos en bas, après elle ſe coula entre mes cuiſſes, mit ſa langue entre mes levres & me demanda la mienne qu’elle ſuça ; elle me fit encore tenir mes talons vers ſes feſſes, & mit ſon affaire ſur le mien, elle me ſecouoit ainſi & me frottoit particulierement dans l’endroit où il y a de l’os deſſus ; comme elle ſe