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ne s’inquiètent pas des images qui intéressent le peuple ; les collectionneurs rougiraient de les classer dans leurs portefeuilles. Ainsi sont condamnées à la destruction tant « d’images de papier » collées aux murs des cabaretiers, données aux enfants, estampes dont les gens des campagnes se lassent eux-mêmes un jour, et qui ont une fin trop enviable, quand un fonds tout entier sert, comme le raconte M. Garnier dans son Histoire de l’Imagerie chartraine, à envelopper les étoffes des marchands de nouveautés d’Orléans.

Les anciennes images du Juif étant devenues


D’après une gravure allemande de 1602.


d’une excessive rareté, il fallait s’enquérir des livrets de la même famille, dont le frontispice, comme