Page:Histoire de l'imagerie populaire (IA histoiredelimage00cham).pdf/335

Cette page n’a pas encore été corrigée

TABLE DES MATIÈRES
Dédicace — À M. le docteur Reinhold Kochler 
 i à iii
Préface — L’image populaire plus difficile à découvrir qu’un monument assyrien. — Pauvreté du Cabinet des Estampes en matière d’imagerie. — Une gravure d’Épinal historiquement a la valeur d’un Marc-Antoine. Trait d’union qui relie l’homme de génie et le sauvage. — Troyes, Chartres, Orléans, berceaux de l’imagerie populaire. — Son rôle politique à Paris. Ateliers du Mans, de Caen, de Beauvais, de Cambrai, de Lille, de Nantes et de Limoges. Vulgarisation de l’image par l’Alsace et la Lorraine. — Épinal, Nancy, Metz, Montbéliard, Wissembourg. L’art des dominotiers et des papiers de tenture. — Monographie des Publications du graveurs chartrains, par M. Garnier. — Publications du même ordre de M. de Liesville. — Filon à exploiter. — Publications troyennes sur la xylographie. — Chansons modernes qui corrompent le peuple. — Analogie des images populaires modernes avec les travaux des maîtres en bois du xve siècle. — La Bible des pauvres et la Bibliothèque bleue. — L’image rappelle des détails de mœurs oubliés. — Maître Merlin, le montreur d’ours. — Affiches de théâtre, factures, enseignes, saltimban- 
 ix à xlviii