Juif-Errant, Ar Boudedeo. Le Juif, des sandales aux pieds (chose rare, tous les Juifs de l’imagerie portant de fort belles bottes à revers, en entonnoirs, etc.), marche péniblement vers la plage. Vaisseau en panne. Complainte. Feuille double. 1855.
Pellerin. — Épinal. — Le vrai portrait du Juif-Errant. Les temples s’écroulent, les vaisseaux s’engouffrent dans la mer. Le Juif-Errant, avec des gestes de premier rôle à l’Ambigu-Comique, fuit devant la croix qui apparaît dans un coin du ciel, entourée de lumière. Burin ronflant et mélodramatique. Feuille simple. Complainte. 1857.
Verronais. — Metz. (Dépôt à Paris chez Delaporte aîné, 21, rue Michel-le-Comte.) — C’est la même planche ou une reproduction d’une des précédentes feuilles d’Épinal. Le bourgeois de Bruxelles est habillé comme le Bourgeois gentilhomme. 1858.
Glemarec (rue Saint-Jacques). — Paris. (Imprimerie de Lacour, 18, rue Soufflot.) Le Juif-Errant cause avec deux bourgeois de la ville de Bruxelles, dont on aperçoit les clochers pointus. 1858[1].
Pellerin. — Épinal. — Le vrai portrait du Juif-Errant, copie sur bois de la gravure publiée à Paris par Jean. Complainte. Feuille simple. 1860.
Delhalt, Roy еt Thoмas. — Metz. — Le Juif-Errant, por-
- ↑ Ces dates de publication sont fournies par le timbre du bureau de dépôt au ministère de l’intérieur.