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se met en marche, un bâton à la main. Divers sujets sont disposés autour du personnage avec les légendes : Jésus-Christ va au Calvaire. — Marche donc. — Le Juif-Errant parle aux habitants de Paris. Feuille simple. Complainte, et au-dessous : Notice sur le Juif-Errant. Typ. Guérin, rue du Petit-Carreau. Gravure sur bois de 1815 à 1820.

Pellerin. — Épinal. — Le Juif-Errant. Il chemine au bord de la mer, dans une solitude absolue. Sorte de cèdre à gauche ; vaisseau à droite. Feuille double. Gravure à larges traits. (Entre 1820 et 1830.)

Deckerr. — Montbéliard. — Portrait du Juif-Errant. Coiffé d’un grand chapeau à cornes, le Juif se dirige vers une ville orientale. Complainte. Feuille double. (1830 à 1840.)

— Montbéliard. — Feuille double. Même titre qu’au précédent. Pour activer la vente, les éditeurs ont changé la tête et le chapeau du Juif-Errant. Au lieu d’un chapeau à cornes, il est coiffé d’une sorte de gâteau de Savoie avec bordure en fourrure. 1829.

Pellerin. — Épinal. — Le vrai portrait du Juif-Errant. Juif-Errant habillé en bandit avec plume au chapeau. Feuille simple, avec la complainte, 1842.

Dembour et Gangel. — Metz. — Le Juif-Errant. Il s’adresse à un matelot qui lui indique son chemin dans la direction d’une ville de l’Orient. Feuille simple. Complainte. Elle a été réimprimée avec le seui noin de Gangel, à Metz, 1842.