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ge vîte, allons vî-î-îte, ma-a-man… quel plaiſir ! Dans ce moment elle ſe pâma. Je ſentis tout auſſi-tôt ma moniche humectée d’une liqueur chaude. Revenue à elle-même, elle patina mes tetons, & me frotta tant qu’elle parvint à me donner le plaiſir que je deſirois, mais bien différent de celui que j’ai goûté dans tes bras, mon cher Dubois. Ma ſœur m’ayant quitté avec toute la ſatisfaction poſſible, ne manqua pas de venir me joindre le lendemain, & pour couper court, elle me mit dans une attitude aſſez plaiſante pour ne

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