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tendant, amis lecteurs, lectrices, f..teurs, f..teuſes, gamahucheurs, b..gres & tribades, recevez d’auſſi bon cœur que je vous le préſente ce petit morceau de poéſie.


Madrigal.

Le ſouhait ſalutaire.


Le ſeul vœu qu’à l’Être ſuprême
Hélas ! on doit faire pour vous ;
C’eſt qu’à jamais vous ayez tous
L’eſprit ſain, v.. & c.. de même.


Je n’ai pas l’audace de donner ce madrigal comme une production de ma verve poétique ; je dois donc vous avouer, mon cher lecteur, que c’eſt la parodie, traduite du mieux que j’ai pu le faire faire par mon éditeur, d’un fameux précepte, très-connu de Juvenal.


FIN.