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pendant aſſez vîte, & je me vis bientôt en état de faire face aux champions que la mere ſainte égliſe me procura, tant membres orateurs de la ſublime & preſqu’incompréhenſible langue de cette bonne mere que tous autres citoyens.

Je pourrois faire ici un volume in-folio, pour le moins, de toutes mes aventures d’égliſe. C’eſt ainſi que je nomme toutes celles que j’ai eues tant avec le rabat qu’avec l’aumuſe, le petit manteau, ou le capuchon ; mais j’aime mieux les réſerver pour en faire une hiſtoire ſéparée de la mienne. Je me contenterai donc de rapporter