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égrillard ; c’eſt-à-dire de la part du garçon, car la péronelle ſe conduiſit toujours en fille modeſte ; mais le moment d’après nous commençâmes à obſerver tout le jeu que nous avions déjà vu, & qui fut répété à bien des différentes repriſes. L’égrillard, après s’être muni l’eſtomac de quelques bonbons qu’il mangea, fut retrouver ſa poulette ; dès qu’il fut près d’elle, il ne tarda pas à ſe poſer ſur le corps de ſon amante, mais avant qu’il eut eu le tems de ſe cramponner, la petite cruelle ſut ſe ſouſtraire à ſon embraſſement, elle ſe ſauva derriere un ſopha. L’ar-