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la doſe d’eſprit qui convient à tout ce monde-là : un roman que nous lirons avec plaiſir les ennuyeroit mortellement ; ils n’entendroient rien à ces ouvrages ingénieux où le grand monde ſeroit dépeint avec délicateſſe, de même que nous ne pourrions jamais ſupporter la lecture de tel livre qui les enchante, parce que leurs mœurs, ou celles des gens de leur connoiſſance, y ſont décrites fort intelligiblement, & que rien ne ſauroit les intéreſſer davantage.

C’eſt à nos lecteurs à décider pour quelle eſpece de gens a été