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  • les Turcs après la victoire des croisés sur Kerbôga (28 juin 1098), 157.
  • Arnoul (Arnulfus), élu patriarche de Jérusalem (1er août 1099), 209. — Reçoit, avec Godefroi de Bouillon, les renseignements envoyés par Tancrède, 209. — Accompagne le duc et l’armée qui marchent sur Ascalon, 211. — Publie un ordre du jour la veille de la bataille (11 août 1099), 213. — Reçoit, de Robert Courte-Heuse, l’étendard de l’émir de Babylone, 217.
  • [Arnoul], évêque de Martirano (Marturanensis episcopus). — Accompagne Godefroi de Bouillon lors de la marche sur Ascalon (9 août 1099), 211. — Envoyé à Jérusalem pour y demander du renfort, il est fait prisonnier par les Turcs, 211.
  • Ascalon (Ascalona, Ascalonia, Scalona, Scalonia), ville de Palestine occupée par les Égyptiens, 207. — Ils y préparent une attaque contre Jérusalem, 209. — Marche des croisés sur Ascalon et bataille d’Ascalon (12 août 1099), 213-215.
  • Asie (Asia), 117.
  • Asie Mineure. — Voir : Romanie.
  • astrologie, pratiquée par la mère de Kerbôga, 125.
  • Athena. — Voir : Adana.
  • Aubré de Cagnano (Alberedus de Cagnano), seigneur normand de l’armée de Bohémond, 21.
  • Aubri de Grandmesnil (Albericus de Grentemaisnil), frère de Guillaume. — S’enfuit d’Antioche, assiégée (10 juin 1098), 127.
  • aumônes. — Envoyées par l’empereur aux croisés pauvres après la capitulation de Nicée, 43. — Ordonnées aux croisés avant la bataille contre Kerbôga (26-28 juin 1098), 151 ; — avant l’assaut contre Jérusalem (6 juill. 1099), 203 ; — avant l’élection d’un chef à Jérusalem (17 juill. 1099), 207.
  • Aups (Alpes), canton de Salernes, arrond. de Draguignan (Var). — Voir : Pierre d’Aups.
  • Azymites (Azimitae), dans l’armée turque, 103, 111.
  • B
  • Babylone d’Égypte (Babilonia), aujourd’hui le Caire. — Route y menant, 217. — Émir : voir Al-Afdhal.
  • Balduinus. — Voir : Baudouin.
  • baliste. — Employée par la garnison de Marra contre les croisés, 175.
  • bandes formées par les croisés, 5, 13, 15.
  • bannière (vexillum) de l’évêque du Puy prise par les Turcs (29 déc. 1097), 75 ; de Bohemond pendant la bataille du 9 févr. 1098, 85 ; — de Bohémond, arborée sur les murs d’Antioche (3 juin 1098), 109 ; — de Raimond de Toulouse et de Bohémond, donnée comme sauf-conduit à la garnison de la citadelle d’Antioche (28 juin 1098), 159. — Les croisés entrent dans Maraclée avec leurs bannières (févr. 1099), 187. — Bannière donnée comme sauf-conduit à des musulmans après la prise de Jérusalem (15 juillet 1099), 205. — Bannière de l’émir de Babylone, dont le porteur est blessé par le comte de Normandie à la bataille d’Ascalon (12 août 1099), 215. — Le comte de Normandie l’achète vingt marcs d’argent, 217. — Voir : pennon.