Page:Hippocrate - Œuvres complètes, traduction Littré, 1839 volume 9.djvu/476

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ea quæ in capite sunt respiramina ; et actenus devita quæ vocatur natura mutatur.

53. (Conclusion. L’auteur dit, qu’ayant parlé des fièvres, il parlera des autres maladies. Il ne cherchera pas à être nouveau au risque d’être faux ; il s’en tiendra aux bonnes choses dites avant lui.) Superest mihi singulas acutas ægritudines dicere, quæque sit et quateniis oportet curari, et qualia ex unaquaque veniant. Ego quidem quæ[1] ante me fuerunt medici recte scierunt his non habeo quod contraeam, credens meluis esse recte intelligere anteriora quam nova et falsa dicere. De febribus quidem omnibus ; de ceteris jam dico.


fin de l’appendice et du neuvième volume.
  1. Lisez : quæ qui ante me.