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argument.

grand homme combat cette erreur dangereuse, et fait voir que le fondement de la médecine doit être sensible, qu’il faut juger des aliments et des remèdes par le rapport qu’ils ont avec la nature et suivant les biens et les maux qu’on en reçoit, et non pas sur des suppositions imaginaires, comme faisaient ces nouveaux auteurs. Il prouve que les aliments ne profitent ou n’incommodent pas en tant que chauds et en tant que froids, mais par le rapport qu’ils ont avec la nature et suivant les biens et les maux qu’on en reçoit. »

Suit la traduction, où l’auteur a supprimé plusieurs passages.


Jo. Henr. Schulze, De medico vehementer laudari digno ad Hippocratem de veteri medicina, Halæ, 1755, in-4o. Je n’ai pas vu cette dissertation.