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de l’ancienne médecine.

Euseb. Schenk, Dissertatio de iis quæ Hippocrates tradidit in proæmio de veteri medicina, 1619 in-4o. Je n’ai pas vu cette dissertation.


Ex libris Hippocratis de nova et prisca arte medendi deque diebus decretoriis epithomae Michælis Angeli Blondi. Romæ 1545. C’est une simple traduction des traités de l’Art et de l’Ancienne Médecine, traduction qui m’a paru mauvaise.


Fl. Schuyl pro veteri medicinâ, Lugd. Bat. et Amstelod. apud Gaabesquios. 1670, in-24. C’est une polémique en faveur de Sylvius, où l’auteur s’appuie beaucoup du livre de veteri medicina.


In Hippocratis librum de veteri medicina Lucæ Antonii Portii Neapolitani paraphrasis, Romæ, 1681. C’est une traduction très libre où l’auteur a introduit quelques développements. Il pense que la doctrine qu’Hippocrate expose dans ce traité est celle de Démocrite. J’ai fait voir qu’Hippocrate avait emprunté à Alcméon une de ses notions fondamentales sur la santé et la maladie.


Divers traités sur les panacées, ou remèdes universels, sur les abus de la médecine ordinaire, avec une traduction d’Hippocrate de la cause des maladies, et des avis de Van Helmont sur la composition des remèdes, par Jacques Massard, doyen du collège des médecins de Grenoble, de l’académie royale des nouvelles découvertes de médecine, à Paris. 2e édition. Amsterdam, 1686, in-24.

L’auteur qui intitule le traité de l’Ancienne Médecine traite de la cause des maladies et de l’ancienne médecine, dit p. 87, dans un court préambule : « Hippocrate a composé ce traité de l’ancienne médecine contre certains novateurs de son temps qui établissaient pour la cause des maladies le chaud et le froid, le sec et l’humide, et par ce faux principe, renversaient le fondement de l’ancienne médecine. Ce