c’est-à-dire que nous obtenons pour les fonctions et des trois variables l’équation différentielle du premier ordre
(I*)
|
.
|
|
À cette équation si nous adjoignons encore l’équation aux dérivées partielles
(I*)
|
,
|
|
tirée des équation
,
,
on voit que l’équation aux dérivées partielles du second ordre (I), relative à la fonction des deux variables , et le système simultané (I*) des deux équations aux dérivées partielles du premier ordre, relatif aux deux fonctions des trois variables , sont dans une relation tout à fait analogue à celle qui a lieu dans le cas précédent de l’intégrale simple entre les équations différentielles (1) et (1*).
L’intégrale ayant une valeur indépendante du choix de la surface d’intégration, on a
,
où l’intégrale du second membre doit être étendue à une surface intégrale des équations aux dérivées partielles
,
;
au moyen de la précédente formule nous obtenons immédiatement la suivante
(IV)
|
,
|
|
où